France, 2016, 1h43
avec Romain Duris, Céline Sallette, Julie-Marie Parmentier
avec Romain Duris, Céline Sallette, Julie-Marie Parmentier
Avant-première
1923. Georges, héros de 14 fuyant son passé, mène depuis quatre ans une vie aventureuse en Afrique lorsqu’il décide de rentrer en France. Il y retrouve sa mère et son frère Marcel, invalide de guerre muré dans le silence. Il peine à retrouver une place dans cet après-guerre où la vie a continué sans lui... Entre bords de Loire, Brière et Cité des Ducs de Bretagne, les paysages du département prêtent leurs décors au premier film réalisé par Emmanuel Courcol, angevin d’origine. Il avait jusque-là principalement collaboré comme scénariste auprès de Philippe Lioret (Welcome, Toutes nos envies).
"Cessez-le-feu est surtout un film sur l’après-guerre et les Années Folles…
Oui, c’est une période fascinante, finalement assez peu traitée au cinéma. L’après-guerre, comme la guerre, génère toujours de considérables affaires et toutes sortes de trafics, en plus de la folie liée à l’étonnement et la culpabilité d’avoir survécu. Après avoir détruit il faut reconstruire, et la guerre de 14 avec l’immense chantier de réhabilitation des champs de bataille n’a pas failli à la règle, avec ses fortunes qui se sont bâties sur le commerce de l’exhumation des corps, la récupération des métaux, le nettoyage et la reconstruction des 4000 villages détruits ou rayés de la carte… À Paris, passée la chaleur des retrouvailles avec Fabrice, son compagnon d’armes, c’est tout cela que Georges, totalement déphasé, découvre au cours d’une soirée débridée, ironiquement plantée dans un décor d’Afrique de pacotille : un Paris déchainé, qui fête toujours la fin du conflit. Il est alors frappé par l’étalage obscène de l’argent des profiteurs, la licence et l’insouciance de la société, le luxe insolent des planqués, l’arrogance de la nouvelle génération et, au milieu de tout ça, quelques fantômes d’anciens combattants à la dérive. Pour Georges, homme blessé, austère et solitaire, le cocktail est explosif…"
Entretien avec Emmanuel Courcol, extrait du dossier de presse
1923. Georges, héros de 14 fuyant son passé, mène depuis quatre ans une vie aventureuse en Afrique lorsqu’il décide de rentrer en France. Il y retrouve sa mère et son frère Marcel, invalide de guerre muré dans le silence. Il peine à retrouver une place dans cet après-guerre où la vie a continué sans lui... Entre bords de Loire, Brière et Cité des Ducs de Bretagne, les paysages du département prêtent leurs décors au premier film réalisé par Emmanuel Courcol, angevin d’origine. Il avait jusque-là principalement collaboré comme scénariste auprès de Philippe Lioret (Welcome, Toutes nos envies).
"Cessez-le-feu est surtout un film sur l’après-guerre et les Années Folles…
Oui, c’est une période fascinante, finalement assez peu traitée au cinéma. L’après-guerre, comme la guerre, génère toujours de considérables affaires et toutes sortes de trafics, en plus de la folie liée à l’étonnement et la culpabilité d’avoir survécu. Après avoir détruit il faut reconstruire, et la guerre de 14 avec l’immense chantier de réhabilitation des champs de bataille n’a pas failli à la règle, avec ses fortunes qui se sont bâties sur le commerce de l’exhumation des corps, la récupération des métaux, le nettoyage et la reconstruction des 4000 villages détruits ou rayés de la carte… À Paris, passée la chaleur des retrouvailles avec Fabrice, son compagnon d’armes, c’est tout cela que Georges, totalement déphasé, découvre au cours d’une soirée débridée, ironiquement plantée dans un décor d’Afrique de pacotille : un Paris déchainé, qui fête toujours la fin du conflit. Il est alors frappé par l’étalage obscène de l’argent des profiteurs, la licence et l’insouciance de la société, le luxe insolent des planqués, l’arrogance de la nouvelle génération et, au milieu de tout ça, quelques fantômes d’anciens combattants à la dérive. Pour Georges, homme blessé, austère et solitaire, le cocktail est explosif…"
Entretien avec Emmanuel Courcol, extrait du dossier de presse
Séances
Préfailles • Cinéma L'Atlantique
Samedi 1er avril 20:30
Héric • Cinéma Le Gén'éric
Jeudi 6 avril 20:30
Saint-Malo-de-Guersac • Ciné Malouine
Jeudi 6 avril 20:30
Nozay • Cinéma Le Nozek
Samedi 8 avril 20:30
Le Pouliguen • Cinéma Pax
Samedi 15 avril 18:30
La Turballe • Cinéma Atlantic
Samedi 15 avril 20:45
Vertou • Ciné-Vaillant
Samedi 15 avril 20:45
Samedi 1er avril 20:30
Héric • Cinéma Le Gén'éric
Jeudi 6 avril 20:30
Saint-Malo-de-Guersac • Ciné Malouine
Jeudi 6 avril 20:30
Nozay • Cinéma Le Nozek
Samedi 8 avril 20:30
Le Pouliguen • Cinéma Pax
Samedi 15 avril 18:30
La Turballe • Cinéma Atlantic
Samedi 15 avril 20:45
Vertou • Ciné-Vaillant
Samedi 15 avril 20:45